DES COMPORTEMENTS RESPONSABLES, DES POLITIQUES RESPONSABLES...
La mentalité primitive des croyances africaines
Il est très fréquent d’entendre les africains pointer du doigt leurs états et leurs gouvernements comme étant la cause de leurs problèmes. En effet, selon beaucoup d’entre eux c’est toujours le gouvernement, le président de la république, en somme toute l’état qui est responsable de leurs maux. L’africain s’exclut lui-même de sa conception de la nation. Tout ceci à cause de son sectarisme et de son individualisme. Il est souvent fréquent d’entendre parler de solidarité africaine, mais cette solidarité n’est réellement qu’une solidarité de façade. Il n’en est rien dans le fond.
L’africain a gardé des séquelles de son passé tribal (son attachement a son ethnie, sa tribu, sa région, castes, etc.…). Cela fait qu’il a du mal a s’imaginer comme faisant partie intégrante d’une nation, il a donc du mal a se considérer comme un acteur majeur de sa nation. En conséquence il existe juste une petite place pour une véritable unité nationale, qui est un des piliers d’une nation. L’africain s’enferme cependant involontairement dans un certain sectarisme et devient sans le savoir lui-même sectaire et individualiste. Il ne pense pas aux gens qui sont autour de lui, ni à son pays. Il ne pense qu’a sa famille, qu’a son village, sa région etc. Aussi lorsqu’il a réussi dans la vie, cette tendance se confirme. Il pense très peu à l’avancée de son pays, même lorsqu’il a beaucoup de moyens.
Il oublie que son pays lui appartient et qu’il y a un rôle à jouer. En conséquence, des mésententes suivies de conflits naissent entre des peuples d’un même pays, des guerres éclatent, etc.… et l’africain se met à accuser l’état, le gouvernement, ou les puissances occidentales des maux de son pays. Cela est peut être vrai dans un sens, mais tout un chacun a une part de responsabilité dans son pays. Et l’africain a aussi sa part de responsabilité dans ce qui se passe en Afrique. Alors comme le dicton le dit, il ne s’agit pas de se demander ce que son pays peut faire pour soi, mais ce qu’on peut faire pour son pays.