Blog

Les organisations humanitaires ont fait plus de dégâts à l’Afrique que l’impact positif marginal qu’elles sont censés avoir eu. Afin de recueillir des fonds pour leurs opérations, ces organismes se sont engagés dans un «porno de la pauvreté», représentant l’Afrique avec les images les plus dégradantes et humiliantes. La dignité des peuples africains n’est pas quelque chose qui les intéressait.

Lorsque dans leur fureur hégémonique, les puissances occidentales décident de faire la loi par leur force métallique, sur le territoire africain, les sorciers se terrent ; sur aucun de leurs nombreux théâtres de démonstration de force, ces conquérants venus d’horizons lointains, n’ont eu à affronter une quelconque contre-force, constituée de bataillon de sorciers, cherchant à les contrarier, pour assurer l’inviolabilité de leur espace vital.

Les croyances en la sorcellerie sont toujours très ancrées en Afrique. La peur du sorcier, de la sorcière, de l’enfant sorcier, du mauvais sort, hantent encore de nombreux Africains. Cette peur reste enfouie chez certains, même lorsqu’ils quittent leur pays d’origine pour s’installer à l’étranger.

Tout d'abord, qu'est-ce qu'une tribu? Aussi étonnant que cela puisse paraître, cette question apparamment banale a suscité longtemps une vive controverse et une totale incompréhension mutuelle de la part des commentateurs.

Un aspect du renforcement des communautés africaines, sont les repas en groupe. Comme la célébration de la conclusion d’un projet, et de beaucoup d'autres activités importantes..

Commencez par vous-même: pensez aux personnes avec lesquels vous mangez, et celles avec qui vous ne mangez pas. Généralement, les gens avec qui vous mangez seront votre famille et vos amis.

Le terme "communauté" contient "unité". Or, l'on suppose généralement - et à tort - que toutes les communautés africaines sont unies.

Il existe au sein de toute communauté africaines des factions et des disputes que nous qualifions de "schismes sociaux". La religion, l'existence de clans et de différentes classes sociales, le langage, les différences ethniques ainsi qu'une multitude d'autres facteurs sont souvent à l'origine de ces schismes.

Nous désirons aider les pauvres. Ceci est si commun à tant de cultures qu'on est porté à croire qu'il s'agit d'un trait humain universel. C'est un précepte commun à toutes les grandes religions, et même celles moins répandues. Donner aux pauvres, faire l'aumône, nous fait du bien. Tellement, qu'il y en a qui maintiennent que l'on donne pour la satisfaction que l'on en retire, et non pour le bien des bénéficiaires.

1. Les détenteurs du pouvoir (les façonneurs d'opinion et les dirigeants, et non seulement une majorité de la population) doivent souhaiter une plus grande autonomie pour la communauté africaine et être prêts à faire les efforts et les sacrifices que cela s'imppose. (Les façonneurs d'opinion et les dirigeants peuvent l'être de façon officielle ou non, être reconnus comme tels ou non.) Autrement, vous perdez votre temps et serez plus utile dans une autre communauté.

L'explication publique des valeurs politiques est un aspect de la politique particulièrement répandu dans les pays à représentation démocratique. En pratique, les discours des politiciens et les sermons des pasteurs ont de nombreux points communs. Prêcher n'est pas une bonne méthode de mobilisation.

L'aide à l'autonomie des communautés pauvres et marginalisées d'Afrique, la suppression (et non la diminution) de la pauvreté sont des buts éminemment politiques. Nombreux sont les individus dont les intérêts personnels interdisent l'élimination de la corruption, puisque cette structure, telle qu'elle existe, leur accorde le bénéfice de certains avantages.

C'est un défi global et de taille. Celui-ci concerne deux aspects de la culture, le pouvoir et les valeurs (idéologiques).